vendredi 18 mars 2016

Parenthèse d'actualité : c'est quand le printemps ?

Rêvons un peu
Puisqu'il faut tout préciser, nous n'avons que mépris pour le salariat, pas pour les travailleurs*.
Enfin, pas pour ceux qui refusent d'être utilisés à marcher sur la gueule des autres.
Traîtres ? Non, logiques avec eux-mêmes.

Aussi, comme à l'enterrement de Vallès**, nous étions, ce jeudi, un fier tas à servir d'escorte à un mouvement encore balbutiant, sympathique à coup sûr mais très mal accompagné.
Qu'à-t-on vu à Toulouse ? Des syndicalistes jouant au flic plutôt deux fois qu'une, des politiques crapuleux qui s'incrustent sans se faire virer, des flics jouant aux flics et, pour finir, une dissolution absurde.
Ça, c'est le côté rageant.
La bonne surprise vient de certains débrayages et de la multiplication d'AG. En espérant qu'elles ne servent pas de dérivatifs pour les bonimenteurs habituels.  
En espérant aussi que la "Hache de Damoclés" de la chanson finira bien par tomber au bon endroit.
Après tout, nous n'y avons qu'un monde à gagner et comme disait un camarade espagnol : "nous n'avons pas peur des ruines."

Ceci posé, avec notre mauvais esprit habituel, on rappellera que nous partageons quelques revendications de base, ici exprimées par l'ex groupe toulousain : les Malpolis

 

* Puisque, faute d'être rentiers, nous en sommes.
** La chanson accompagnant ce lien explique le texte un peu abscons ci-dessus.

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